A la fin des années 1960, le canal Mons-Condé traversant ce site constitué de prés humides est remblayé à l’aide de matériaux, principalement constitués de remblais charbonniers. Ceux-ci seront déversés sur la quasi-totalité du site. Entre la fin des années 1980 et 1998, des boues de dragage sont également stockées sur la partie sud du […]
Il s’agit d’un ancien charbonnage « complet », donc possédant notamment un triage-lavoir, un bassin à schlamms (poussières de charbon mélangées à de l’eau), une fabrique d’agglomérés et une centrale électrique. Fermé en 1976, il est situé en bordure du canal Hensies-Pommeroeul et bordé par une réserve naturelle.
La SA du Charbonnage d’Hornu et Wasmes est fondée en 1835. Le siège n° 3 et 5 (dit « des Vanneaux ») abritait deux puits. Le puits n°3 cesse d’être exploité fin 1956, le n°5 à la mi-1957. Outre les deux puits, le siège abritait des vestiaires, une vaste salle des machines et des ateliers et remises. […]
Dès le 18ème siècle et jusqu’en 1950, le site est occupé par un charbonnage. En 1955, la société charbonnière est absorbée par la SA des Usines métallurgiques du Hainaut. Jusqu’en 1965, de nombreux déchets sidérurgiques des entreprises voisines y sont déversés. De 1965 à 1986, une aciérie s’est développée sur le site. La partie ouest […]
Ce site comprenait une zone d’habitations, démolies en 2002, ainsi que la partie « Moulin » qui correspondait au site de l’ancienne minoterie à vapeur exploitée de 1852 à la fin des années 1940. A partir des années 1960, cette zone fut occupée par le Service incendie de la Ville de La Louvière. Enfin, la partie « Usine […]
Le site est occupé par des activités de charbonnage de 1856 à 1959 par la société « SA des Charbonnages Unis de l’Ouest de Mons ». Les matériaux issus du terril sont revalorisés par diverses sociétés de 1963 à 1997. Le site est occupé de 1966 à 1997 par un chantier de récupération de métaux. En 1998, […]
Le site « Houssus n°6 » à Haine-Saint-Pierre est un ancien site charbonnier qui a notamment accueilli, entre 1869 et 1957, des cokeries, un charbonnage et une usine à briquettes.
En 1911,le site accueille des activités de fabrication mécanique (gazogènes, ressorts et étriers pour les chemins de fer), de maintenance d’accumulateurs électrique de lampes de mines et de fonderie. Les principales sources de contaminations potentielles liées à ces activités proviennent des activités de réchauffage (fours, forges au gaz ou gasoil), de traitement thermique (cintrage, trempe […]
En 1840, les premières activités de papeterie sont exercées sur le site par la famille Godin. L’usine comportait différentes installations techniques, dont un pulpeur et des machines à papier (avec presses et cylindres sécheurs), ainsi que des unités de collage, de chaulage et de blanchiment du papier. Le site était alors appelé « Site de Fleury ». […]