SPAQUE, société spécialisée de la Wallonie en matière de sols pollués, propose ses services aux acteurs publics ou privés et vous accompagne, en tout ou en partie, dans votre projet de reconversion de sols pollués.
Nous pouvons reprendre votre terrain pollué. Cliquez ici pour connaître nos conditions.
En tant que pôle d’expertise de la Région wallonne en matière de gestion des sols pollués, SPAQUE est un acteur du développement économique et durable de la Wallonie. Un rôle qui se concrétise, notamment, au travers des projets de réaffectation de sites qu’elle a assainis.
A l’heure actuelle, 59 sites ont été réhabilités : 23 sites (soit 599 hectares) ont été reconvertis et 26 (soit 387 hectares) connaissent un projet de reconversion.
Active dans le domaine des énergies renouvelables, SPAQUE a construit, en 2020, sa troisième et plus puissante centrale photovoltaïque.
Qui sommes-nous ?
hectares réhabilités depuis 2000
MWh d’énergie verte produite en 2023
chantiers de réhabilitation en 2023
sites investigués en 2023
Dans cette rubrique, retrouvez notre portail cartographique reprenant l’ensemble des sites sur lesquels SPAQUE est intervenue ainsi que les terrains disponibles pour le développement de vos projets.
Découvrir l'activité foncièreRetrouvez ici toutes les friches et décharges sur lesquelles SPAQUE est intervenue ou intervient encore aujourd’hui.
Les aciéries Allard se sont installées sur le site en 1905-1907. Spécialisée dans la production de pièces et leur parachèvement, l’usine était subdivisée en différentes zones de part et d’autre de l’Eau d’Heure. Les Aciéries Allard ont fermé en 1979 et, depuis lors, le site est à l’abandon, à l’exception de deux parties (ancienne clouterie […]
En 1834, la société “Aciéries et Minières de la Sambre Nord” développe des activités de hauts-fourneaux, de fours à coke et de fabrication de sous-produits. En 1970, après la fermeture de l’usine, le site devient propriété du Port autonome de Charleroi qui procède au démantèlement des structures hors sol. A partir de 1984, une partie […]
En 1840, les premières activités de papeterie sont exercées sur le site par la famille Godin. L’usine comportait différentes installations techniques, dont un pulpeur et des machines à papier (avec presses et cylindres sécheurs), ainsi que des unités de collage, de chaulage et de blanchiment du papier. Le site était alors appelé “Site de Fleury”. […]
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