Retrouvez ici l’ensemble des friches et décharges traitées par SPAQUE.
Depuis sa création, SPAQUE est intervenue sur de nombreuses friches et décharges. Si certaines ont été assainies et valorisées il y a plusieurs années, d’autres connaissent encore aujourd’hui des travaux de dépollution.
Les Laminoirs de Longtain ont été fondés en 1924-1925 par les descendants de l’industriel Augustin Gilson. Au début des années 1930, les activités de la société sont redirigées vers la fabrication à froid de châssis métalliques. Dans les années 1940, une division de profilage à froid est mise en place. Dans la suite, l’entreprise se […]
Jusqu’en 1808, le périmètre du site est, en partie, occupé par le château de Chênée et ses dépendances. Un laminoir y est installé en 1812, débute alors la fabrication de fer blanc.En 1882, l’usine prend le nom d'”Usines à Cuivre et à Zinc” de Liège. Elle se consacre à la fusion de métaux non ferreux, […]
A la fin des années 1960, le canal Mons-Condé traversant ce site constitué de prés humides est remblayé à l’aide de matériaux, principalement constitués de remblais charbonniers. Ceux-ci seront déversés sur la quasi-totalité du site. Entre la fin des années 1980 et 1998, des boues de dragage sont également stockées sur la partie sud du […]
Il s’agit d’un ancien charbonnage “complet”, donc possédant notamment un triage-lavoir, un bassin à schlamms (poussières de charbon mélangées à de l’eau), une fabrique d’agglomérés et une centrale électrique. Fermé en 1976, il est situé en bordure du canal Hensies-Pommeroeul et bordé par une réserve naturelle.
La SA du Charbonnage d’Hornu et Wasmes est fondée en 1835. Le siège n° 3 et 5 (dit “des Vanneaux”) abritait deux puits. Le puits n°3 cesse d’être exploité fin 1956, le n°5 à la mi-1957. Outre les deux puits, le siège abritait des vestiaires, une vaste salle des machines et des ateliers et remises. […]
Dès le 18ème siècle et jusqu’en 1950, le site est occupé par un charbonnage. En 1955, la société charbonnière est absorbée par la SA des Usines métallurgiques du Hainaut. Jusqu’en 1965, de nombreux déchets sidérurgiques des entreprises voisines y sont déversés. De 1965 à 1986, une aciérie s’est développée sur le site. La partie ouest […]
En 1868, Télésphore Dejaiffe met en service une marbrerie à vapeur pour scier et polir le marbre local. En 1883, l’usine est rachetée par ses fils. Les activités se poursuivent jusqu’en 1981, lorsque la société est déclarée en faillite. En 1982, l’activité y redémarre sous la raison « Marbrerie de Mazy », puis prend la déno-mination de « Marbrerie Stock » en 1985. La société est mise en liquidation quelques années plus tard.
Le site MMRA, dans sa globalité, comporte deux entités principales, établies de part et d’autre de la voie ferrée de Athus à Mont-Saint-Martin : à l’ouest, la zone plus vaste des crassiers aux scories et laitiers sidérurgiques ; à l’est, l’usine sidérurgique.
L’usine sidérurgique a connu une activité de 1872 à 1977. Les bâtiments sont démolis progressivement dès la fin des années 1970, et les crassiers sont exploités ou régalés.
Dès 1979, la plateforme multimodale d’Athus, permettant le regroupement et le transport de conteneurs par voies ferrées, est aménagée au droit de l’ancienne usine sidérurgique et des crassiers en réutilisant souvent des équipements hérités de l’ancienne sidérurgie.
Le site MMRA, dans sa globalité, comporte deux entités principales, établies de part et d’autre de la voie ferrée de Athus à Mont-Saint-Martin : à l’ouest, la zone plus vaste des crassiers aux scories et laitiers sidérurgiques ; à l’est, l’usine sidérurgique.
L’usine sidérurgique a connu une activité de 1872 à 1977. Les bâtiments sont démolis progressivement dès la fin des années 1970, et les crassiers sont exploités ou régalés.
Dès 1979, la plateforme multimodale d’Athus, permettant le regroupement et le transport de conteneurs par voies ferrées, est aménagée au droit de l’ancienne usine sidérurgique et des crassiers en réutilisant souvent des équipements hérités de l’ancienne sidérurgie.