Marchienne-au-Pont : » Fonderie Léonard Giot »
Après avoir procédé à la déconstruction des bâtiments du site « Fonderie Léonard Giot » à Charleroi, SPAQuE y poursuivra prochainement les travaux de réhabilitation avec les excavations des sols. Une riveraine s’est plainte, au travers de la presse, d’inconvénients subis lors de la déconstruction des bâtiments abandonnés. SPAQuE qui, sur chacun de ses chantiers, met en œuvre toutes les mesures possibles afin d’en limiter au maximum les nuisances, tient à apporter les précisions suivantes.
Il faut d’abord savoir que les problèmes au bâtiment de cette dame – que SPAQuE a rencontrée à plusieurs reprises – ont commencé à la suite des dégâts causés, semble-t-il, par les pompiers lors d’un incendie antérieur au démarrage du chantier de réhabilitation. Lorsque ce chantier a commencé, il y avait donc déjà d’importants dégâts sur son immeuble qui avait, par ailleurs et depuis des années, subi les conséquences de la dégradation des bâtiments de l’ancienne fonderie.
Comme toujours sur nos chantiers, il y a eu un état des lieux préliminaire dans tous les bâtiments jouxtant le site, donc y compris, chez cette riveraine. En dehors de cet état des lieux (qui concerne l’entrepreneur en charge des travaux), nous disposons de photos du bâtiment de cette dame, réalisées par notre conducteur de chantier avant démarrage de la réhabilitation.
Lorsque cette riveraine a signalé les problèmes décrits dans l’article (infiltrations d’eau, humidité, dégâts aux corniches), des experts ont été mandatés et le dossier se trouve dans les mains des assurances (celle de l’entrepreneur et la sienne, SPAQuE n’étant pas concernée par ces éventuels dégâts et leurs conséquences).
Par ailleurs, la pose, par l’entrepreneur et aux frais de SPAQuE, d’un bardage sur le mur mis à nu lors de la démolition de l’ancienne fonderie a, en effet, pris du retard, mais cela devrait être fait la semaine prochaine (une membrane étanche a toutefois déjà été posée).
Enfin, SPAQuE avait, à l’époque, pris connaissance de l’abattage d’un mur sur le trottoir longeant les maisons riveraines. Notre conducteur de chantier avait alors arrêté le chantier qui n’avait pu reprendre qu’une fois les conditions de sécurité adaptées.
Pour tout renseigement complémentaire :
Jean-Frédérick Deliège
Service de la communication externe et des relations avec la presse
0494/57.94.18